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9 idées déco, pas chères, à emprunter aux maisons de célébrités
Inabordable, la décoration des célébrités ? Pas tant que l'on cherche à s'en inspirer sans se tourner vers les marques de design les plus luxueuses. Pour réussir cet objectif, 5 conseils clés :
- Observez attentivement les détails : en photo ou en vidéo, prêtez attention aux petits objets et aux dispositions qui peuvent faire la différence.
- Fonctionnez au coup de cœur, plutôt que de chercher à reproduire un intérieur coûte que coûte.
- Utilisez la recherche inversée de Google Images pour retrouver les objets les plus ressemblants.
- Passez différents sites de déco en revue pour trouver l'objet idéal.
- Gardez l'œil ouvert aux puces et brocantes.
Voici 9 idées pas chères dont s'inspirer
Cette vaste villa du XVIIIe siècle au bord du lac Majeur, abandonnée depuis un certain temps, a été rénovée par le mannequin Gabrielle Caunesil et son mari, Riccardo Pozzoli. Gabrielle est française, comme l’élégance qui imprègne les collections de sa marque de mode, La Semaine, tandis que Riccardo est italien. Gabrielle incarne ce goût délicieusement parisien. Riccardo, lui, apporte la mesure, la rigueur du design italien et une grande cuisine où l’on peut se retrouver à toute heure de la journée. Le design devient ici presque une diplomatie discrète pour souligner l’originalité de chaque pièce.
Après plusieurs années à Los Angeles, l’acteur et son épouse ont choisi de s’installer dans la vallée de l'Hudson, dans un domaine envoûtant des années 1920. Dès le début du projet, Walton Goggins et Nadia Conners ont fait appel à leur ami Shawn Henderson pour repenser l’architecture intérieure. Il a réorganisé la maison en profondeur, ajustant son agencement désuet aux rythmes et aux rituels de la vie contemporaine. Il a repensé la séquence d’entrée, agrandi la cuisine, aménagé une nouvelle suite principale et transformé trois anciennes chambres de personnel en bureau à domicile pour Walton Goggins. « L’objectif était de rendre la maison plus accueillante, de la remodeler en douceur pour qu’elle épouse les contours de leur vie de famille », explique l’architecte d’intérieur. « Je dois aussi dire que Walton est plus qu’obsédé par le design. Il se plonge dans chaque détail. »
Ces bureaux sont ce que Tom Ackerley (le mari de Margot Robbie) décrit comme « une ambiance familiale et conviviale ». La cuisine lambrissée de chêne, qui sert de partie commune, est aménagée comme une cuisine résidentielle, où le personnel prépare régulièrement le petit-déjeuner et se réunit pour le déjeuner. Le bar à café, avec sa crédence en miroir antique et sa machine à expresso de qualité, constitue un tel point fort que Josey McNamara admet qu’il vient en voiture le week-end juste pour se servir une tasse. « Le café ici est tellement bon », dit-il en riant.
Et bien qu’il n’y ait pas d’affiches tape-à-l’œil, des rappels discrets aux films de LuckyChap sont disséminés un peu partout. Un ensemble de chaises a été récupéré sur le plateau de Barbie et retapissé pour un usage quotidien. « Ce sont exactement les chaises de la scène de la salle de réunion de Mattel avec Will Ferrell », explique Tom Ackerley. On trouve également une table de conférence aux tons rose blush (un hommage subtil à la superproduction) et une table basse rassemblant les scénarios des plus grands succès de l’entreprise.
C’est dans son hôtel particulier niché au cœur d’une impasse de la rive droite que Lenny Kravitz nous reçoit. Un petit palais du XXe siècle que le musicien, qui a aussi fondé sa propre agence de design, a façonné à son image : rock, glamour et cosmopolite – night-club privé inclus. Depuis qu’il a posé le pied à Paris pour la première fois en 1989, à 25 ans, afin de promouvoir son album Let Love Rule, Lenny Kravitz est amoureux de la ville. Au début des années 2000, il a ressenti le besoin d’y établir un pied-à-terre : « Un petit appartement d’une chambre donnant sur la Seine, où je pourrais écrire tranquillement », se souvient-il. Un jour, l’agent immobilier lui dit : « J’ai quelque chose. Ce n’est pas ce que vous cherchez, mais il faut que vous le voyiez. » Ce « quelque chose » n’était autre que la demeure de la comtesse Anne d’Ornano, ancienne maire de Deauville, une propriété des années 1920 nichée dans une impasse verdoyante du XVIe arrondissement. « Je suis entré et j’ai su spirituellement que cette maison était la mienne », se souvient Lenny Kravitz.