Un hôtel particulier de 553 m2 et six étages
Nous sommes au cœur du XVII ème arrondissement de Paris, à l’abri des regards et rythmé par la quiétude d’un quartier discret. Derrière une élégante façade classique en pierre, se dévoile un trésor architectural rare : un hôtel particulier dont la surface atteint les 553 mètres carrés, récemment rénové par un architecte de renom.
Ancienne demeure du Général Catroux, érigée en 1884, la propriété affiche sa façade d’origine et ses pierres apparentes, témoins de l’histoire. On décèle sur l’extérieur les influences du romantisme français tout comme des notes du style Renaissance. L’hôtel particulier pensé comme une vraie maison de ville se déploie sur six niveaux, desservis par un bel escalier dont la rampe en bois côtoie, à certains étages, des détails singuliers… Par exemple, le plafond du salon ouvrant sur l’extérieur est orné d’une élégante fresque. Les vastes pièces de réception, baignées de lumière, s’ouvrent de plain-pied sur deux terrasses généreusement ensoleillées, véritables extensions de l’espace de vie. La suite parentale, spectaculaire, s’élève sous plus de cinq mètres de plafond, et s’agrémente d’un dressing sur mesure, d’une cheminée d’époque et d’un balcon privé invitant à la contemplation. Cinq autres chambres, toutes dotées de leur propre salle de bain, filent la métaphore de l’art de vivre à la française.
Pensé jusque dans les moindres détails, l’hôtel particulier intègre des prestations haut de gamme à l’image d’un ascenseur privatif, d’une salle de cinéma privée, d’une salle de sport, d’un hammam et d’un système domotique intelligent qui orchestre discrètement les fonctionnalités de la maison. Un espace indépendant dédié au personnel, ainsi qu’une place de stationnement à proximité, viennent parfaire ce bien d’exception, rare alliance de prestige, d’histoire et de modernité, au cœur même de Paris.
L'hôtel particulier est mis en vente par Propriétés Parisiennes Sotheby's Realty pour la somme de 7 900 000 €.
La maison-atelier de Jean Dubuffet, cachée au fond d'une impasse
Elle est mise en vente par l'agence Varenne, en plein cœur du VIème arrondissement de Paris.
L’allée Maintenon se découvre au fond d’une impasse pavée du VIème arrondissement où fleurissent les ateliers d’artistes… Nous sommes entre les quartiers de Montparnasse et Saint-Germain-des-Prés, dans une résidence qui fut la maison-atelier de Jean Dubuffet pendant 45 ans. Édifiée par les architectes Auguste et Gustave Perret entre 1927 et 1928, la maison est d’abord celle de la peintre Mela Muter qui la loue à l’artiste Jean Dubuffet. Ce dernier en tombe éperdument amoureux, le lieu devenant une source d’inspiration intarissable. Dans l’actuelle salle à manger, il s’adonne au dessin tandis que l'actuelle chambre parentale fait office d’atelier — il est reconnaissable à ses grandes baies vitrées par lesquelles on faisait passer les toiles.
Dans une lettre adressée à Auguste Perret le 2 août 1946, Jean Dubuffet décrit sa joie d’occuper les lieux : « Monsieur, je suis depuis plus de deux ans locataire du pavillon que vous avez construit pour madame Mela Muter. À l’usage, je veux dire à habiter cette maison (très constamment car je ne sors guère), j'éprouve un plaisir, donné par les proportions et arrangement architecturaux de ces locaux, qui ne s’émousse pas (qui s'accroît au contraire) et ma pensée va très souvent à l’architecte qui l’a conçue, avec un vif sentiment d’admiration et de reconnaissance dont je veux vous faire part (…) » Il y vit de 1945 jusqu’à sa disparition en 1985. Des années durant lesquelles il reçoit les grandes personnalités et artistes de l’époque à l’image de Man Ray, Raymond Queneau ou encore Robert Doisneau qui l’immortalise plusieurs fois dans son intimité. N’étant pas un grand féru de mondanités, il se murmure que Jean Dubuffet reçoit exclusivement le jeudi…
Depuis la disparition de Jean Dubuffet, trois familles se sont succédé entre les murs de la maison-atelier. La dernière en date, actuellement propriétaire, décide de vendre après six années passées à peaufiner le décor. Entièrement composé d’œuvres d’art et de pièces chinées dans toute la France, l’intérieur est celui de collectionneurs passionnés. Le couple décide de réhabiliter le toit-terrasse pour en faire un espace de détente et de réception, un salon d’été cohabitant avec des bains de soleil et une salle à manger estivale avec vue sur les toits de Paris. Entre les lauriers roses et une végétation luxuriante, la terrasse (100 mètres carrés) embrasse le monastère de la Visitation et ses jardins, voisins — tout comme l’hôtel particulier de Gérard Depardieu.
Au gré de 280 mètres carrés et de trois étages où règne la lumière, l’ancienne maison-atelier de Jean Dubuffet affiche une structure en L. Articulée autour d’un patio central et d’une succession de baies vitrées, si chères aux artistes, la bâtisse semble rythmée par la valse des rayons du soleil. Mise en vente par l’agence Varenne, elle cherche ses nouveaux propriétaires, esthètes épris du Beau, à l’âme de collectionneurs. Le prix de vente s’élève à 12 500 000 euros.
Une maison d'architecte avec piscine et pont-levis
Sa présence est insoupçonnable. Derrière une porte cochère discrète du quartier Vaneau, dans le VIIème arrondissement de Paris, se dévoilent les traits d’une maison contemporaine à l’architecture unique.
D’une superficie de 750 mètres carrés, cet ancien atelier a été métamorphosé en maison dans la ville à seulement quelques pas des jardins de Matignon. Comment pourrait-on deviner qu’elle abrite un pont-levis et une piscine ? Articulée autour d’un patio de 100 mètres carrés, la maison à vendre est un heureux mélange de tonalités minérales, de lumière et de végétation puisqu’elle dévoile un mur végétal au borde l’eau — ou la juste touche exotique pour oublier qu’on vit au cœur de Paris. Lignes brutes, panneaux en bois, absence de frontière entre l’intérieur et l’extérieur… L’esprit de la demeure se veut japonisant, le fil rouge résidant dans l’atmosphère sereine des lieux.
La métamorphose de cette maison est orchestrée par l’architecte Guillaume Cochin, à qui l’on doit notamment la construction de l’ambassade de France à Hanoï. Il réussit ici à transposer sa vision d’une maison familiale où les grandes tribus s’épanouissent, évoluent d’un étage à un autre. Un pari relevé avec brio, puisque l’espace d’origine était particulièrement brut et industriel, dénué de charme. Au terme de deux années de travaux, la propriété prend vie et semble dessinée autour d’un patio central qui fait office de cœur végétal. La structure métallique d’origine est conservée, associée à de grandes baies vitrées qui invitent la lumière à l’intérieur tandis qu’un bassin de nage s’installe en vedette sur la terrasse. Un véritable cocon de verre et d’acier rappelant les lignes de l’architecture japonaise, en outre ultra sécurisé : la maison comprend un sas sécurisé et une porte intérieure blindée.
Imaginé comme un geste architectural urbain, le projet affiche 574 mètres carrés loi Carrez, répartis entre deux corps de bâtiments eux-mêmes liés par le patio. On compte six chambres dont trois suites avec salles de bains et dressings, tout comme deux bureaux. Au sous-sol, la salle de sport, le sauna et le garage se donnent la réplique. Un bien particulièrement rare, tant par sa situation géographique à Saint-Germain-des-Prés que par sa structure avec piscine extérieure et pont-levis motorisé.
La maison est à vendre pour la somme de 17,8 millions d’euros par l’agence Varenne.
Une maison dans la Villa Montmorency
Les biens à vendre au sein de la Villa Montmorency ne se bousculent pas sur le marché de l'immobilier. Célèbre pour avoir abrité d'illustres artistes et célébrités — comme Sarah Bernhardt, le couple Chagall, Sylvie Vartan et Mylène Farmer —, ce micro-quartier parisien sis dans le XVIe arrondissement fait l'objet de nombreux mystères. Ultra sécurisée, mais aussi ultra prisée, cette villa du XIXe siècle est l'équivalent parisien des gated communities américaines. Aujourd'hui, Sotheby's International Realty met en vente cette propriété, située sur la plus grande parcelle de la Villa Montmorency. Un bien particulièrement rare, dans une résidence fermée où des règles strictes contraignent chaque demeure à 150 m² minimum et aux extérieurs à deux fois la superficie de la maison (une enquête complète est à lire dans nos colonnes).
Le terrain de plus de 2 200 m² accueille une demeure de 1 000 m². Les chiffres sont impressionnants pour une maison de ville — et pour un logement parisien en général — mais le budget l'est aussi : il faudra débourser quelque 39,6 millions d'euros pour l'acquérir. La rareté de cette propriété est d'autant plus renforcée par la présence d'une exceptionnelle piscine intérieure de 6x10 mètres, d'un agréable jardin paysager de 1 700 m² et de nombreux balcons et terrasses tout autour de la maison. Exposé plein sud, le bien est un véritable havre de paix, comprenant un également un spa, une salle de sport et un cinéma.
À l'intérieur, l'opulence est de mise. Le rez-de-chaussée compte un hall d'entrée aux 6,5 mètres de hauteur sous plafond, un escalier monumental, une vaste pièce de réception ouverte sur une terrasse, deux bureaux, une salle à manger et une cuisine dinatoire. Un ascenseur mène aux deux étages de la maison, où l'on trouve cinq suites (dont la plus grande de 90 m²), un salon et une salle de jeux donnant sur plusieurs balcons, noyés dans la verdure du jardin. Enfin, une dépendance habitable de 120m² s'ajoute à l'ensemble, ainsi qu'un garage permettant de loger une dizaine de voitures.
Ce bien unique, dans le quartier le plus secret de tout Paris, est à vendre pour 39,6 millions d'euros par Sotheby's International Realty.
Un hôtel particulier entre les Invalides et le musée Rodin
L'occasion ne se représentera certainement pas de si tôt. À vendre à Paris VIIe, entre les Invalides et le musée Rodin, cet hôtel particulier de 565 mètres carrés est un véritable bijou proposé par Propriétés Parisiennes Sotheby's International Realty. Il s'agit d'un des rares hôtels particuliers disponibles à la vente dans la capitale, plutôt coutumière des grands immeubles. Baigné de lumière des deux côtés du bâtiment, ce bien construit en brique rouge au charme ancien, semble comme échappé du tumulte parisien. Situé dans l'un des quartiers les plus chics de la capitale, il promet un cadre de vie à la fois luxueux et paisible grâce à sa localisation.
On accède à la propriété par une voie privée et sécurisée par un gardien, promettant un calme absolu à toute heure. Cette exceptionnelle maison de ville s'élève sur deux étages desservis par un ascenseur. Au rez-de-chaussée, un grand hall d'entrée ouvre sur un plafond à plus de 3,60 mètres sous le plafond et mène à un vestiaire, un lounge avec un bar, un billard ainsi qu'un salon TV. On trouve également deux suites dotées de salles de bains et dressing. Le premier étage accueille deux autres suites conçues sur le même modèle. Le deuxième étage, construit sous 4 mètres de hauteur de plafond, abrite un vaste espace de réception traversant de 85 mètres carrés, doublé d'une cuisine et d'un bureau. Ce dernier niveau offre une vue dégagée sur les toits alentours et le double clocher d'une église proche.
Au total, la maison compte 7 pièces, dont 4 chambres et 4 salles de bains. L'ensemble des espaces a été pensé dans des matériaux nobles et chaleureux par un architecte d'intérieur. Parquet Versailles et point de Hongrie, cheminées en marbres et moulures d'inspiration parisienne apportent un cachet haussmannien aux pièces, parfaitement équilibré avec des touches plus contemporaines, comme les bibliothèques en bois sur mesure, les couleurs modernes, les parois en verre de style industriel et le mobilier actuel. Enfin, une agréable terrasse arborée de 55 mètres carrés, ainsi qu'une salle de sport et une cave à vin en sous-sol, complètent le bien. À vendre à Paris VIIe pour une somme à retrouver directement sur le site de l'agence immobilière Propriétés Parisiennes Sotheby's International Realty, cet hôtel particulier est un rare havre de paix au cœur de la capitale.